Comprendre les mutations de la formation et des organisations
Nous accompagnons les branches professionnelles sur l’identification des problématiques des entreprises et la détermination de solutions. Quelle évolution des compétences ? Comment y répondre ? Quel accompagnement pour les salariés et leurs entreprises ?
Attractivité
Depuis peu, un nombre grandissant de secteurs d’activité et de bassins d’emploi rencontrent des difficultés aggravées de recrutement. Ces difficultés interpellent l’attractivité des emplois et des territoires.
Nos travaux sur le négoce de vins, les entreprises du paysage, le transport fluvial…, nous ont permis de proposer un schéma des courts-circuits d’une action de recrutement.
Recruter ne suffit pas. Fidéliser est indispensable. C’est le champ (notamment) de la question de l’entreprise apprenante, de l’accompagnement des évolutions professionnelles, du tutorat… qui s’ouvre immanquablement.
Apprentissages informels
La formation relève d’un univers normé, visible et déclaré. C’est avec ce formalisme que la réalité des apprentissages professionnels du quotidien – que sont les apprentissages informels – est restée silencieuse. Comprendre ce ressort d’acquisition de compétences nous paraît essentiel.
Mais, au bout de nos travaux, nos conclusions nous amènent à recommander de ne pas tenter de contrôler, normaliser, d’encadrer ces apprentissages aux risques de les étouffer. A l’inverse, ils éclairent les entreprises sur les leviers favorables à leurs développements.
Vous pouvez retrouver nos réflexions et travaux avec le livre « On en apprend tous les jours » chez L’harmattan
AFEST vs Transmission des compétences
Nous nous sommes très tôt intéressés à la Formation en situation de travail. D’abord parce que nous formons les tuteurs et maîtres d’apprentissage, ensuite parce que nous sommes intervenus, notamment, dans le secteur des transports sur les premières expérimentations.
Nous avons croisé ce champ avec les résultats de nos nombreuses études prospectives sur l’évolution des métiers. Force est de constater que le besoin de professionnalisation est à la hausse alors que le besoin en compétences de chaque entreprise est singulier.
Nos conclusions sont que la mise en œuvre de l’AFEST nécessite que l’entreprise internalise une fonction de référent transmission de compétences.
